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Un simple visuel de BarDown, mais une image qui en dit long. L’alignement du Canadien de Montréal en 2015-16.
Et là, on réalise à quel point les temps ont changé. À quel point le CH est meilleur aujourd’hui. Partout. Sauf devant le filet évidemment.
Carey Price, c’était du grand art. Mais autour de lui? David Desharnais, Max Pacioretty, Tomas Fleischmann, Brian Flynn et Devante Smith-Pelly… On est loin de Cole Caufield, Ivan Demidov, Juraj Slafkovsky et Nick Suzuki. Très loin.
En défense, c’était le règne de P.K. Subban, Andrei Markov, Jeff Petry et Alexei Emelin. Du talent, oui, mais disons qu'il y avait un manque notable de profondeur… bien visible quand Nathan Beaulieu est sur ton top 6. Aujourd’hui, on parle de Noah Dobson, Kaiden Guhle, David Reinbacher… et surtout Lane Hutson. Le petit magicien.
Le CH n’a pas repêché Hutson avec un choix naturel. Il est le résultat d’un improbable fil d’échanges qui commence avec Sven Andrighetto en 2013… et qui, après une série de transactions impliquant des noms plus ou moins obscurs — Martinsen, Baun et Valiev — jusqu’aux visages plus familiers de Plekanec ou Kulak, a fini par livrer un choix de 2e ronde en 2022. Un véritable vol au 62e rang. Ce choix-là? Il est devenu Lane Hutson. Un défenseur moderne, électrisant… et qui pourrait bien faire oublier P.K. Subban plus vite qu’on le pense.
Et ce n’est pas le seul clin d’œil du passé qu’on peut noter de l’alignement 2015-16 du Canadien:
Pour nous, il n'y a pas photo, le CH version 2025-26 est meilleur. Plus jeune. Plus rapide. Plus affamé.
Et pour la première fois depuis longtemps, la Coupe Stanley n’est plus un rêve flou pour les partisans montréalais. Elle est un objectif atteignable. Elle est là, au bout du bâton. Il ne reste plus qu'à aller la chercher… et à prouver qu’on est enfin prêts. Mais c'est beaucoup plus facile à dire qu'à faire!
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