Voyez les détails !
La saison 2025-2026 de la LNH approche à grands pas et l’excitation monte déjà chez les amateurs de hockey.
Avant que la première mise au jeu officielle ne soit effectuée, l’équipe de The Score a décidé de s’amuser un peu en utilisant le jeu vidéo NHL 26 pour simuler l’ensemble de la campagne à venir.
L’idée? Offrir un regard complètement fictif et parfois délirant sur ce que pourrait donner la prochaine saison. Comme il ne s’agit évidemment que d’une simulation virtuelle, certains scénarios paraissent hautement improbables, voire carrément farfelus, mais c’est précisément ce qui rend l’exercice aussi divertissant.
Cette simulation a permis de revisiter chaque division, d’identifier des performances individuelles marquantes et de projeter un parcours éliminatoire qui pourrait faire rêver plusieurs partisans, surtout du côté canadien.
Des surprises à la tonne, des vedettes vieillissantes qui connaissent une seconde jeunesse, des clubs en crise, et même une conclusion inattendue avec un affrontement historique pour la Coupe Stanley : bref, The Score a livré une expérience de hockey virtuelle qui soulève déjà les débats et qui pique la curiosité.
Les Panthers de la Floride, doubles champions de la Coupe Stanley, poursuivent leur domination en terminant encore au sommet de leur section, tout en accordant le plus petit nombre de buts de la ligue. Les Senators d’Ottawa ratent le titre de peu à cause d’un bris d’égalité, mais leur parcours en séries est autrement plus marquant. Les Red Wings de Detroit brisent enfin leur longue disette de neuf ans sans participation aux séries grâce à une attaque explosive où cinq joueurs marquent plus de 25 buts. Du côté du Lightning, Nikita Kucherov atteint encore des sommets avec une saison de 50 buts et 98 points.
Les Canadiens de Montréal, eux, connaissent une saison en dents de scie, mais Cole Caufield explose avec une récolte de 97 points, tandis qu’Ivan Demidov remporte le trophée Calder, offrant au CH un deuxième récipiendaire consécutif. À Toronto, c’est la crise : malgré 58 buts d’Auston Matthews, les Leafs manquent les séries pour la première fois avec lui dans l’alignement. Les Sabres continuent leur disette malgré de solides saisons de Tage Thompson et Rasmus Dahlin, tandis que les Bruins s’enfoncent davantage, même si David Pastrnak brille avec 57 buts.
L’histoire la plus étonnante se passe à New York, où les Islanders dominent la conférence grâce aux performances d’Ilya Sorokin. Les Penguins retrouvent enfin le printemps, portés par des saisons remarquables d’Evgeni Malkin et Erik Karlsson. Chez les Capitals, Alex Ovechkin repousse les limites en inscrivant un incroyable 66 buts à 40 ans, s’approchant encore plus du cap mythique des 1000 buts.
Les Devils profitent d’une saison complète en santé de Jack Hughes et Dougie Hamilton pour redevenir compétitifs, tandis que les Flyers progressent avec l’émergence de Matvei Michkov. Les Rangers, eux, manquent de profondeur malgré la contribution de J.T. Miller. À Columbus, Zach Werenski se démarque, mais cela ne suffit pas pour ramener les Blue Jackets en séries. Quant aux Hurricanes, ils créent la surprise en s’effondrant complètement et en terminant derniers de l’Est.
Les Jets de Winnipeg décrochent un deuxième Trophée des Présidents consécutif, menés par un Kyle Connor étincelant (53 buts, 99 points). L’Avalanche, sans Mikko Rantanen, trouve un moteur offensif en Martin Necas. La nouvelle équipe de l’Utah, les Mammoth, parvient à se qualifier pour les séries avec une attaque équilibrée, tandis que les Stars ratent la danse printanière par un cheveu. Les Blues et les Wild connaissent des saisons décevantes, malgré un Mats Zuccarello inspiré. À Nashville, Steven Stamkos ajoute une belle touche offensive, mais l’équipe reste moyenne. Enfin, les Blackhawks terminent bons derniers malgré les 36 buts de Connor Bedard.
À Los Angeles, Anze Kopitar vit une dernière saison mémorable en menant les Kings au titre de division. À Vegas, la combinaison Jack Eichel-Mitch Marner fait des ravages. Les Ducks, avec un Mason McTavish déterminé après une impasse contractuelle, retrouvent les séries après plusieurs années d’absence. Les Canucks règlent enfin leur problème de centre de deuxième trio grâce à Filip Chytil.
À Edmonton, McDavid et Draisaitl assurent l’essentiel, mais la défense poreuse des Oilers inquiète. Les Flames s’accrochent grâce à Nazem Kadri, tandis que les Kraken et les Sharks poursuivent leur reconstruction, malgré les belles performances de Shane Wright et William Eklund.
Les séries réservent leur lot de surprises : les Oilers, les Mammoth et le Lightning causent des surprises dès la première ronde. Mais c’est surtout la finale qui retient l’attention : une confrontation toute canadienne entre Ottawa et Edmonton.
Les Oilers remontent un déficit de 3-1 pour forcer un septième match, mais les Senators triomphent en prolongation grâce à David Perron, remportant ainsi leur toute première Coupe Stanley. Dylan Cozens reçoit le Conn Smythe avec 18 points, même si le gardien Linus Ullmark aurait aussi mérité les honneurs.
Recevez les dernières nouvelles directement dans votre boîte de réception.