Voyez les détails!
À mesure que l’été avance et que les rumeurs reprennent de plus belle, un nom bien connu des partisans de hockey vient de refaire surface dans l’entourage du Canadien : celui de Nazem Kadri.
Âgé de 34 ans, le vétéran des Flames de Calgary a encore quatre ans à écouler à un salaire de 7 millions $ par saison. Or, selon Nick Kypreos, ses liens avec le Tricolore refont surface, et cette fois, il serait ouvert à lever sa clause de non-mouvement pour se joindre à deux clubs rivaux de la division Atlantique.
En effet, tel que relayé par Tony Marinaro sur X, Kadri serait prêt à accomoder son club en lui permettant de l'échanger, mais seulement à deux équipes : Montréal et Toronto.
Selon Nick Kypreos, Kadri continue d’être lié au Canadien et aux Maple Leafs, et il serait prêt à lever sa clause de non-mouvement pour l’une ou l’autre des deux équipes.
Que pensez-vous de Kadri comme centre numéro 2?
Même si rien n’indique qu’un échange est imminent, le fait que Kadri soit prêt à faire une exception pour le CH ne passe pas inaperçu. Surtout dans un contexte où la direction pourrait vouloir encadrer ses jeunes joueurs avec un vétéran au centre du deuxième trio.
Selon nos dernières informations, la direction tente présentement de trouver une solution à l'interne pour son problème au sein du deuxième trio, puisque l'offre sur le marché ne correspond pas aux besoins du Tricolore.
Pour le moment, tout indique que Nick Suzuki et Kirby Dach entameront la saison au centre dans le top-6. Or, l'équipe demeure toujours à la recherche d'une amélioration dans l'immédiat. Dans cette optique, Kadri pourrait représenter une option solide et expérimentée derrière Suzuki.
Évidemment, son contrat demeure un obstacle, surtout dans un environnement où le CH veut protéger sa flexibilité salariale pour les prochaines années. Cela dit, si Calgary est prêt à retenir du salaire, ou si un montage à trois équipes est envisagé, les possibilités deviennent soudainement plus réalistes.
Bref, la balle est dans le camp de Kent Hughes, mais une chose est sûre : si Kadri ouvre la porte, Montréal pourrait bien être tentée d’y entrer.
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