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Tout récemment, l’entraîneur-chef du Canadien, Martin St-Louis, a accepté l’invitation du populaire balado Missin Curfew, animé par l’ancien défenseur de la LNH Shane O’Brien, qui a d’ailleurs été un coéquipier de St-Louis à Tampa Bay.
Au cours de cet entretien détendu et riche en anecdotes, Martin est revenu sur plusieurs moments marquants de sa carrière, notamment ses années avec le Lightning. Mais un segment en particulier a capté l’attention des partisans montréalais : ses propos à propos du défenseur Arber Xhekaj.
Alors que certaines rumeurs circulaient récemment laissant croire que Martin St-Louis n’était pas entièrement convaincu par le jeu de Xhekaj, l’entraîneur a tenu à mettre les pendules à l’heure. Bien au contraire, il s’est montré très élogieux envers son jeune défenseur. Il a reconnu qu’à Montréal, on le surnomme le Sheriff, en raison de sa prestance physique, mais a tenu à rappeler que son jeu va bien au-delà de sa robustesse.
Il a insisté sur le fait que l’apprentissage à la ligne bleue peut prendre du temps, surtout pour un jeune joueur comme Xhekaj, mais il voit en lui un défenseur prometteur qui continue de progresser. Selon lui, même en retirant l’élément physique de son jeu, Xhekaj demeure un espoir défensif sérieux, doté d’un bon sens du jeu et d’une volonté d’apprendre.
Il a aussi mentionné que le défenseur avait appris à mieux choisir ses batailles, à grandir dans son rôle et à gagner en maturité sur la glace. Mais surtout, St-Louis a conclu en disant que c’était « un plaisir de le coacher », balayant ainsi toute idée de mésentente ou d’inconfort entre les deux.
L'entraîneur du Canadien, Marty St-Louis, à propos d’Arber Xhekaj :
« Il peut faire bien plus que simplement se battre. À Montréal, on l'appelle le Sheriff. Il est excellent dans ce rôle, mais il y a aussi beaucoup d'autres aspects dans lesquels il excelle. Je pense qu’en tant que jeune défenseur, le plus difficile dans la LNH, c’est simplement de défendre… On oublie parfois qu’il est encore très jeune et qu’il va continuer de progresser. »
« Même en mettant de côté sa robustesse — et oui, il peut se battre —, c’est quand même un jeune défenseur très prometteur. S’il doit se battre, il le fera, mais il a appris à choisir ses moments. Et c’est vraiment un plaisir de le coacher. »
Une déclaration qui devrait rassurer bien des partisans du CH, eux qui voient en Arber Xhekaj un élément unique de l’organisation. Et venant de Martin St-Louis, un entraîneur reconnu pour sa capacité à faire évoluer ses jeunes joueurs, ces mots ont assurément un poids important.
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