
Voyez les détails !
Il y a des coïncidences qui donnent des frissons aux partisans du Canadien de Montréal, et celle-ci en fait clairement partie.
Pour son tout premier départ dans la LNH, Jacob Fowler affronte… les Penguins de Pittsburgh. Un détail qui n’a rien d’anodin quand on regarde l’histoire.
Avant lui, trois monuments du hockey ont vécu exactement ce moment-clé contre la même équipe.
Ken Dryden, le 14 mars 1971, lançait sa carrière légendaire face aux Penguins. Patrick Roy faisait de même le 10 octobre 1985, amorçant un parcours qui allait redéfinir le poste de gardien à Montréal. Carey Price, lui, obtenait son premier départ le 10 octobre 2007, encore une fois contre Pittsburgh, avant de devenir l’un des visages les plus marquants de l’organisation moderne.
Et voilà que Jacob Fowler entre dans ce club très fermé. Même adversaire. Même pression. Même symbolique. Évidemment, personne ne peut prédire l’avenir ni comparer un jeune gardien à de telles icônes après un seul match.
Mais l’image est puissante. Elle rappelle que certaines grandes histoires commencent discrètement, un soir ordinaire du calendrier, avant de devenir mythiques avec le temps.
Pour Fowler, ce match n’est pas une promesse, ni une garantie. C’est une porte qui s’ouvre et c'est maintenant à lui de faire le travail. Et pour les partisans du CH, c’est un rappel fascinant que l’histoire, parfois, aime se répéter, ou au moins faire un clin d’œil.
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