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Nick Suzuki est sous contrat avec le Canadien jusqu’en 2030, avec un cap hit annuel de 7,875 M $. Ce montant représente environ 8 % du plafond de 2025-2026. Une jolie somme, mais dans le contexte actuel, il s'agit déjà d'une aubaine et ça continuera de l'être encore plus.
En 2024‑2025, Suzuki a conclu la saison avec 30 buts et 89 points, affichant un rendement de plus d'un point par match — des performances élite pour un centre de premier plan.
Avec la hausse du plafond, les prix des agents libres vont mécaniquement augmenter. Pour un centre de calibre Suzuki, on peut envisager des offres entre 10 et 12 M $ par saison dans le nouveau contexte salarial — soit une hausse possible de plus de 4 millions par année.
À 7,875 M $ par année, le CH le paie moins que sa valeur réelle sur le marché. Un contrat qui a avantagé Suzuki durant peut-être les deux premières années, mais qui tourne à l'avantage du Canadien pour le restant de l'entente.
Sur le marché libre actuel, Suzuki vaudrait déjà clairement plus que son contrat actuel, avec une valeur potentielle de 10 à 12 M $ par année. Le CH bénéficie ainsi d’un dividende économique stratégique, conservant un jeune centre étoile à prix raisonnable, tout en profitant de la croissance salariale. C’est un pari gagné pour l’organisation si elle parvient à maintenir ce différentiel contrat-performance jusqu’en 2030.
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