Voyez les détails!
À quelques jours de l’ouverture du marché des joueurs autonomes, une rumeur commence à circuler qui risque de faire jaser dans la métropole.
Selon le journaliste Bruce Garrioch, bien branché auprès des Senators d'Ottawa, Claude Giroux aimerait bien prolonger son aventure avec les Sens, mais à moins de deux semaines du 1er juillet, rien n’est encore signé. Et si aucun accord n’est trouvé rapidement, le vétéran pourrait décider de tester le marché.
C’est là que le Canadien de Montréal entre dans le décor.
Toujours selon Garrioch, certains dirigeants dans la ligue estiment que le CH pourrait être une destination possible si l’équipe montre de l’intérêt. Bien sûr, il ne s’agit pour l’instant que de spéculation, mais le nom de Giroux associé au Canadien n’est pas anodin. Le joueur natif de Hearst, en Ontario, n’a jamais caché son affection pour le hockey québécois et a toujours entretenu une grande rivalité — teintée de respect — avec le Tricolore.
À 37 ans, Giroux n’est plus l’attaquant dominant qu’il était, mais il demeure un joueur extrêmement intelligent, fiable dans toutes les situations et encore capable de produire offensivement. Malgré une baisse de régime en 2024-2025, il a tout de même inscrit 15 buts et 35 passes pour un total de 50 points l’an dernier, tout en jouant un rôle clé dans le leadership du vestiaire à Ottawa.
Le CH, qui est prêt à passer à la prochaine étape, aurait sans doute intérêt à encadrer ses jeunes joueurs avec un vétéran du calibre de Giroux, à condition bien sûr que les termes du contrat soient raisonnables. Martin St-Louis, avec son approche axée sur la liberté créative, pourrait aussi être un facteur séduisant pour un joueur qui en a vu d’autres.
Il est encore trop tôt pour savoir si Kent Hughes tentera un coup de poker, mais une chose est certaine : si Claude Giroux devient libre comme l’air le 1er juillet, les yeux seront tournés vers Montréal.
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