La femme d'Andrei Markov détruit Marc Bergevin

La relation entre Marc Bergevin et les partisans du Canadien de Montréal a déjà été plus rose. C'est le moins que l'on puisse dire. Et les nouvelles d'aujourd'hui pourraient bien faire encore plus mal à la cote d'amour du directeur-général.

Le Journal de Montréal s'est entretenu avec l'ancien défenseur du CH Andrei Markov qui affirme que l'organisation du Canadien lui a manqué de respect, lors des négociations de l'été dernier.

« En tant qu’athlète et en tant que personne qui a passé 16 ans de sa vie à Montréal, j’aurais aimé qu’on me respecte, c’est tout ce que je demandais à l’équipe. »

« Je vais être honnête avec toi. Il n’y a pratiquement pas eu de pourparlers avec Montréal. J’ai reçu deux ou trois offres de leur part. Ils m’ont dit : “Ou tu signes, ou tu ne signes pas.” Personne ne m’a écouté et personne n’a voulu m’entendre. Voilà ce qui s’est passé. Donc, j’avais le choix de signer selon leurs termes ou partir et trouver une nouvelle équipe. »

Bien sûr, la notion de respect est particulièrement subjective. Mais on peut assumer que les commentaires de Markov n'aideront pas les choses, alors que de nombreux partisans reprochent toujours à Marc Bergevin de ne pas avoir été en mesure de s'entendre avec le vétéran défenseur.

La femme du #79, Sonya Sonechka, n'a pas été en mesure de cacher son animosité face à Marc Bergevin.

« Ne m’en parle pas. C’est un sujet très délicat pour moi. J’ai mon opinion là-dessus, mais je ferais mieux de me taire », a-t-elle affirmé au journaliste Jonathan Bernier, avec des fusils dans les yeux. « Le Canadien, c’était sa famille, et Montréal, sa maison. D’ailleurs, quand quelqu’un demande d’où il vient, il répond : “Je suis originaire de Voskresensk, mais mon chez-moi est Montréal”. »

« C’est le plus loin que je peux aller, le plus que je peux dire. Pour le reste, tu devras en parler avec Andreï »,a-t-elle ajouté, en se mordant les lèvres.