Voyez les détails!
Oubliez Nick Suzuki et Cole Caufield. La prochaine Coupe Stanley du Canadien de Montréal passera par le jeune attaquant Juraj Slafkovsky selon le chroniqueur Réjean Tremblay.
Dans sa plus récente chronique pour BPM Sports, Tremblay explique que selon lui, le CH aura de bonnes chances de remporter les grands honneurs en 2027 et que ce sera le gros et grand Slaf qui tirera cette équipe sur ses épaules car c'est lui la clé.
Il le compare même à un futur Evgeni Malkin dans les belles années des Penguins de Pittsburgh. Rien de moins.
"Pour gagner la Coupe Stanley en 2026-27, le Canadien doit passer par Juraj Slafkovsky. C’est lui, gros, grand, fort et talentueux, espérons-le, qui va traîner cette équipe sur ses larges épaules.
Slafkovsky est le premier choix total du repêchage. Le Canadien n’avait pas eu ce bonheur depuis le repêchage de Doug Wickenheiser. Ça fait plus de 43 ans. Et Wickenheiser a raté sa carrière…sans doute aidé par Claude Ruel qui a démoli sa confiance dès sa première saison.
La clé, celui que Martin St-Louis doit encadrer et mettre en confiance absolument, c’est Slafkovsky. Tant pis si le coach doit laisser tomber un peu l’implantation d’un système de jeu. Faut que Slafkovsky puisse développer confiance et désir de gagner. Et aussi la rage de marquer. De voir le but. De foncer. De se servir de sa portée, de son poids et de sa force pour intimider l’adversaire. Comme le fait Gino Malkin à Pittsburgh."
- Réjean Tremblay
Toujours selon le vétéran journaliste, Nick Suzuki, le capitaine de l'équipe, n'a pas ce qu'il faut pour mener les troupes jusqu'au bout. Son coéquipier Cole Caufield non plus.
Il les voit plutôt comme des acteurs de soutien dans la future conquête des Habs.
"Peut-être que les fans et les connaisseurs ne seront pas d’accord avec moi. Mais je doute de la capacité de Nick Suzuki d’être le leader capable de traîner une équipe comme l’ont fait Sidney Crosby ou Jonathan Toews.
Suzuki est un des meilleurs centres de deuxième trio de la Ligue nationale. De deuxième trio ! Quand Cole Caufield est en feu, il ramasse sa part de points mais il n’a pas le panache ni le cran pour enflammer une équipe.
Notre Coupe s’appelle Slafkovsky. Y a personne d’autre. Caufield est trop petit pour tirer un club…"
- Réjean Tremblay
Chose certaine, si Slafkovsky, un premier choix total, fini par se développer comme la direction de l'équipe le croit capable, il aura assurément un rôle de premier plan au sein de l'attaque dans les prochaines années.
Reste maintenant à voir s'il aura le panache et le leadership pour mener le Canadien aux grands honneurs.
Recevez les dernières nouvelles directement dans votre boîte de réception.