Jacob Fowler

Jacob Fowler découvre l’ampleur du soutien des partisans du Canadien

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Samuel Doiron

Samuel Doiron


De passage au Sick Podcast avec Tony Marinaro, le jeune gardien Jacob Fowler a livré une entrevue qui en dit long sur son état d’esprit… et sur son attachement déjà profond envers la ville de Montréal. À seulement 20 ans, il parle déjà comme quelqu’un qui a compris exactement ce que représente le hockey dans cette ville et il semble adorer chaque seconde de cette immersion.

D’entrée de jeu, Fowler a expliqué qu’il n’a jamais été le genre de joueur à espérer une longue pause durant l’été. Pour lui, la saison morte, c’est presque un supplice. Pas parce qu’il déteste s’entraîner, mais parce qu’il n’aime pas attendre. « Je veux toujours être autour de la patinoire, autour du jeu. C’est là que je suis heureux », dit-il. L’idée de “patienter” jusqu’au prochain camp lui donne même l’impression de perdre du temps.

Ceux qui le côtoient savent : Fowler est un vrai passionné. Même les matins où il déjeune tranquillement, il regarde des résumés de matchs. Quand il rentre chez lui, la télé ou le téléphone finit toujours par jouer du hockey. C’est un mode de vie, pas une obligation.

Et selon lui, être immergé dans un marché comme Montréal ne fait qu’intensifier ce sentiment.

« Depuis que je suis ici, j’aime le jeu encore plus »

Ce qui surprend le plus Fowler depuis son arrivée dans l’organisation du Canadien, c’est l’ampleur de la passion montréalaise. Il en avait entendu parler, évidemment. Tout le monde connaît l’aura du CH. Mais la vivre au quotidien, c’est autre chose.

Il avoue même que cette ferveur a nourri son amour du hockey plutôt que de le lui faire craindre.

Lorsqu’il repense à la fin de saison du Canadien l’an dernier, cette séquence où l’équipe a poussé fort pour arracher sa place en séries, il en parle avec des yeux qui brillent. « Voir comment les gens vibraient partout dans la ville… honnêtement, ça me renverse », dit-il. Pour lui, constater de près ce lien entre l’équipe et ses partisans a été un véritable choc culturel.

Et le meilleur dans tout ça ?

Il a eu la chance d’assister à quelques matchs éliminatoires au Centre Bell. L’expérience l’a marqué profondément.
« Ça donne des frissons, littéralement. Ce sont des moments que tu n’oublies pas. Il n’y a pas beaucoup d’endroits dans la ligue comme ça », confie-t-il, encore impressionné.

Un jeune gardien qui comprend déjà ce que Montréal signifie

Fowler sait qu’il doit rester concentré sur le moment présent, comme il le dit lui-même : « continue d’être là où mes pieds sont ». Il veut progresser, apprendre, accumuler les répétitions et respecter son développement.

Mais en l’écoutant parler, ce qui transparaît surtout, c’est qu’il sait exactement le genre d’environnement dans lequel il veut grandir. Et cet environnement lui convient parfaitement. Montréal l’a charmé… peut-être même plus vite qu’il ne s’y attendait.

« Être entouré de gens qui aiment ce sport autant que moi… c’est spécial. Vraiment spécial », résume-t-il.

On le sent : pour Jacob Fowler, jouer pour le Canadien n’est pas qu’un objectif de carrière. C’est un rêve qui s’alimente chaque jour au contact d’une base de fans passionnée. Et très peu de joueurs, même établis, sont capables d’en parler avec une telle sincérité.

Le futur du filet du Canadien ? Rien n’est garanti, évidemment. Mais une chose est certaine : Fowler, lui, est déjà tombé amoureux du marché montréalais… et ça paraît.

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Source: X
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