Georges Laraque offre ses services aux Oilers pour le reste de la finale

Alors que la finale de la Coupe Stanley est maintenant égale 2 à 2, les Oilers d’Edmonton doivent composer avec une réalité préoccupante : leur situation devant le filet est tout sauf stable. Depuis le début des séries éliminatoires, la position de gardien est une véritable montagne russe pour l’équipe de Kris Knoblauch.

Stuart Skinner, à qui l’on a donné le filet au départ, a alterné entre des performances brillantes et des soirées cauchemardesques. À plusieurs reprises, il a dû céder sa place en cours de match, incapable de trouver la constance nécessaire à ce niveau d’intensité.

C’est Calvin Pickard qui a dû jouer les pompiers à plusieurs reprises, démontrant un calme rassurant dans les moments critiques. Et ce midi, Knoblauch a confirmé que c’est encore Pickard qui obtiendra le départ pour le cinquième match, ce soir, alors que la série retourne en Alberta. Une décision qui témoigne autant de la confiance en Pickard que du doute persistant envers Skinner.

Mais voilà qu’une troisième option – bien improbable, mais ô combien divertissante – a été évoquée à la blague… par nul autre que Georges Laraque!

L’ancien dur à cuire, qui a porté les couleurs des Oilers de 1997 à 2006, est toujours très proche de l’organisation. Sur ses réseaux sociaux, il a fait sourire bien des partisans en publiant une photo de lui complètement équipé en gardien, debout sur une surface de Dekhockey. En légende, il a lancé avec humour :

« Hey @edmontonoilers fans, I heard you needed a goalie in this Stanley Cup final! » (Hey les Oilers, J'ai entendu dire que vous aviez besoin d'un gardien pour la finale de la Coupe Stanley!)

Évidemment, il ne faut pas prendre l’offre au pied de la lettre, mais dans le contexte actuel, certains fans auraient presque envie d’y croire.

En attendant, la pression est bien réelle pour Pickard ce soir. Les Oilers savent qu’ils doivent être solides à toutes les positions s’ils veulent garder leur rêve de coupe en vie. Et qui sait, peut-être que le fantôme du bon vieux Georges, quelque part dans l’aréna, insufflera un brin d’énergie supplémentaire à l’équipe!