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Il y a des textes qui tombent au bon moment. Celui de Martin Leclerc, publié récemment, en fait partie. Sans tout révéler, disons qu’il éclaire d’un angle nouveau la transaction qui a envoyé Noah Dobson à Montréal. Et ce n’est pas seulement une question de chiffres ou de plafond salarial.
Ce qu’on devine entre les lignes, c’est un malaise. Un joueur qui plafonne, un entraîneur qui impose et un système qui ne pardonne pas. Dobson, malgré ses 70 points en 2023-24, a vu sa production s’effondrer en fin de saison… ce qui l’a privé d’une récolte potentielle de 80 points et plus. Une erreur en prolongation, un match en plein air et puis, plus rien. Ou presque.
Leclerc évoque un contexte tendu entre Dobson et Patrick Roy. Un système trop rigide? Une communication rompue? Peu importe. Ce qu’on comprend, c’est que quelque chose s’est brisé. Et que les Islanders ont choisi leur coach.
Le Canadien, lui, a flairé «le sang». Deux choix de première ronde et Emil Heineman plus tard, Dobson débarque à Montréal avec un contrat de huit ans en poche. Un pari? Peut-être. Mais un pari calculé.
Ce n’est pas tous les jours qu’un défenseur droitier de 25 ans, au format géant et doté d’une vision de jeu élite, devient disponible. Ce n’est pas tous les jours non plus qu’un joueur de cette trempe a quelque chose à prouver… et veut le faire de son plein gré avec les Canadiens de Montréal. Habituellement, les joueurs utilisaient le CH pour faire monter les enchères, mais choisissaient, au final, une autre destination.
Dobson n’arrive pas comme sauveur. Il arrive comme pièce maîtresse d’un casse-tête défensif en pleine mutation. Et si l’environnement montréalais lui permet de retrouver son aplomb, cette transaction pourrait bien devenir un point tournant dans la reconstruction du CH.
Le reste, on le verra sur la glace. Mais pour l’instant, une chose est claire: ce n’est pas juste un échange. C’est une histoire. Et elle ne fait que commencer.
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