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Alors que Lane Hutson est perçu comme l’un des piliers défensifs du futur chez les Canadiens de Montréal, les discussions entourant son éventuel contrat font déjà beaucoup jaser, même s’il a encore une saison à faire sur son contrat d'entrée de recrue.
Sur le plus récent épisode du balado 32 Thoughts, Elliotte Friedman a soulevé un point très pertinent : la direction du CH aurait souhaité, à l’origine, le signer à un salaire inférieur à celui de Nick Suzuki, qui touche 7,875 millions par saison.
Cependant, avec le potentiel que Hutson démontre et l'impact qu’il a déjà à Montréal et ce à un si jeune âge, ce scénario semble de moins en moins réaliste, surtout si l’équipe veut lui faire signer un contrat à long terme.
Friedman croit plutôt que le salaire de Hutson pourrait se rapprocher de celui de Noah Dobson, défenseur des Islanders de New York, qui touche 9,5 millions de dollars par année jusqu’en 2033.
Elliotte Friedman : « Lane Hutson — je suis certain qu’au départ, les Canadiens espéraient le signer pour un montant en dessous de celui de Suzuki; mais si Hutson accepte de s’engager à long terme, son salaire risque de se rapprocher de celui de Noah Dobson. »
(32 Thoughts Podcast, 3 août)
Cette comparaison n’est pas anodine. Dobson, un arrière droitier offensif, est devenu un joueur clé à Long Island, et Hutson projette un profil similaire, avec un potentiel de production très élevé.
Si le Canadien souhaite sécuriser Hutson pour plusieurs années, il devra probablement accepter de payer le prix d’un défenseur top-2 offensif, même à ses débuts.
Dans un contexte où les jeunes talents comme Hutson peuvent rapidement devenir des pierres angulaires, il faudra un contrat à la hauteur de ses ambitions et de son impact projeté. Le pari n'implique pas vraiment de risque, et pourrait même avantager le CH à long terme.
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