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Ça fait un certain temps qu’on en parle… et ce n’est pas près de s’arrêter. Adam Engström attire l’attention, et pas seulement parce qu’il patine bien. Il impose son rythme, il dicte le jeu, et il le fait avec une assurance qui dépasse son âge.
On vous l’a d’ailleurs vanté en long et en large il y a plusieurs mois déjà — alors que Logan Mailloux faisait toujours partie du portrait de famille à Montréal.
Lors du tournoi des recrues, il faudra le surveiller de près. Pas parce qu’il pourrait surprendre, mais parce qu’il est déjà prêt à le faire. Anthony Marcotte l’a souligné dans Le Club du Matin sur les ondes de BPM Sports. Selon l’ancienne voix du Rocket de Laval — qui l'a vu joué près de 80 matchs l'an dernier — Engström a été le meilleur joueur du club école du CH en séries. Dominant, tout simplement. Il a montré du caractère, de la maturité et une capacité à élever son jeu quand ça compte.
Renaud Lavoie, lui, parle d’un défenseur qui monte dans l’organisation. Un joueur que les dirigeants aiment, qu’ils respectent et qu’ils voient dans la LNH un jour. Pas demain matin, mais bientôt. Engström ne commencera pas la saison à Montréal, c’est presque garanti. Il fait partie de la relève. Et il ne passera pas inaperçu longtemps.
Dans une autre équipe, il aurait peut-être déjà sa place. À Montréal, il paie le prix de la profondeur. Hutson, Dobson, Guhle, Matheson, Carrier, Xhekaj, Struble, Reinbacher… la liste est longue.
Malgré tout, Engström n’est pas si loin en bas de l’échelle. Il grimpe, lentement mais sûrement.
Quand il aura sa chance — et il l’aura — celui que l’on surnomme Showtime fera arquer les sourcils. Pas parce qu’il est nouveau, mais parce qu’il est déjà bon. Marcotte, Lavoie et l’organisation sont d’accord: on ne se demande pas si Engström jouera dans la LNH, on se demande quand. Ce jour-là, ceux qui ne l’avaient jamais vu jouer comprendront enfin pourquoi on en parle autant.
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