100 000 jeunes hockeyeurs privés de leur sport

Alors que nous apprenons que de plus en plus de Villes commencent à interdir les matchs de hockey sur les patinoires extérieurs cet hiver, plus le fait que les sports organisés sont à l'arrêt... Un mouvement commence à s'organiser pour enfin permettre aux jeunes de recommencer à pratiquer notre sport national !

À ce sujet, Hockey Québec a confirmé qu'ils avaient un Plan de retour au hockey "prêt, détaillé, reconnu par le ministère et l'ensemble du milieu. Un plan pour contrer cette incohérence qui crée des patinoires achalandées sans encadrement". 

Comme l'illustre Mme Lefebvre, on doit réfléchir aux clientèles silencieuses touchées par le confinement, soit les jeunes sportifs. La grande majorité des jeunes hockeyeurs ont dû accrocher leurs patins depuis maintenant bientôt 1 an. Les bienfaits sur la santé physique et mentale de la pratique du sport chez les jeunes sont bien reconnus. Un arrêt temporaire était peut-être nécessaire ? Mais là, pratiquement 1 an plus tard, il risque d'y avoir des effets néfastes clairs pour nos jeunes.

La pratique du sport favorise aussi la persévérance scolaire, et ces temps-ci, ladite persévérance, la motivation supplémentaire pour nos jeunes serait plus-que-bienvenue. 100 000 jeunes québécois de moins de 20 ans pratiquaient ce magnifique sport avant la pandémie, 100 000. (Dont 60 000 de 12 ans et moins, qui perdent des mois importants de leurs belles carrières d'athlètes, ou d'athlètes-étudiants)

Si on peut aller aux magasins à grande surface, pourquoi ne pouvons-nous pas mettre 12 jeunes sur une grande patinoire ? Est-ce moins important ?

En terminant, insistons : Hockey Québec a confirmé qu'ils ont un Plan de retour au hockey "prêt, détaillé et reconnu par le ministère et l'ensemble du milieu". Il est temps de leur faire confiance. Voilà l'essentiel du texte de Madame Lefebvre, qui est abondamment partagé par plusieurs québécois depuis sa parution.