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C’est maintenant confirmé, Mitch Marner ne sera pas de retour à Toronto en 2025-2026. Il deviendra libre comme l’air le 1er juillet et sera l’un des joueurs autonomes sans compensation les plus convoités sur le marché.
Après des années de déceptions et de performances en dents de scie, les Maple Leafs ont perdu leur pari avec leur monstre à quatre têtes (Matthews, Marner, Tavares et Nylander) et tournent la page.
Pendant que les spéculations vont bon train, une rumeur en particulier fait jaser. Selon le rédacteur principal pour The Athletic, James Mirtle, les Hurricanes de la Caroline seraient prêts à foncer tête première pour signer Marner et Aaron Ekblad cet été.
Mais est-ce vraiment un coup de génie… ou un autre geste désespéré d’une organisation qui cherche une identité depuis près de 20 ans?
La Caroline, c’est l’équipe qui coche toutes les cases… sur le papier: structure défensive solide, profondeur, constance. Mais c’est aussi une équipe terne, sans âme, sans étincelle. Une équipe qui, année après année, échoue à inspirer confiance quand les projecteurs s’allument en séries.
Marner, malgré son talent offensif, traîne une réputation de joueur incapable de livrer la marchandise en séries. Quant à Ekblad, il est perçu comme un dur à cuire… mais à géométrie variable. Oui, il a été un pilier dans une équipe finaliste trois années de suite, mais il demeure un joueur souvent blessé, suspendu pour dopage, et dont l’impact réel fluctue selon les soirs. Il donne parfois l’impression de jouer gros… sans livrer gros.
Rappelons que les Hurricanes n’ont pas soulevé la Coupe Stanley depuis 2006 après l’avoir arrachée en sept matchs aux Oilers d’Edmonton — une époque où Rod Brind’Amour portait encore le «C» sur la glace — et non derrière le banc.
Depuis? Des saisons régulières solides, quelques parcours en séries… mais aucune finale, aucune magie, aucun moment marquant.
Alors pourquoi la Caroline s’entête-t-elle à viser ces deux noms? Pour faire du bruit? Pour prouver qu’elle peut attirer des vedettes? Ou simplement parce qu’elle ne sait plus quoi essayer avec son noyau actuel?
Ce qui manque à cette équipe, ce n’est pas le talent, mais le caractère, la passion, une âme. Et ce n’est pas en empilant les noms sur une feuille Excel qu’on bâtit une culture gagnante.
Les Hurricanes veulent frapper fort. Mais à trop vouloir briller, ils risquent encore une fois de s’éteindre dans l’indifférence.
Et vous, croyez-vous que Marner et Ekblad peuvent vraiment changer la culture à Raleigh?
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