HabsolumentFan
Tom Dundon prouve une fois de plus à quel point il est cheap!
 

Tom Dundon prouve une fois de plus à quel point il est cheap!

Incroyable!

HabsolumentFan

HabsolumentFan

Hier, l'entraîneur-chef Rod Brind'amour des Hurricanes de la Caroline se méritait le trophée Jack Adams, remis à l'entraîneur-chef de l'année dans la LNH.

Son contrat était d'ailleurs venu à échéance au terme de la saison.

La même journée, au terme de plusieurs semaines de négociations, le propriétaire des Hurricanes, Tom Dundon, annonçait avoir finalement réussi à s'entendre sur les termes d'un nouveau contrat avec son entraîneur-chef.

Selon le journaliste et insider Elliotte Friedman de Sportsnet, il s'agirait d'un contrat de 3 ans d'une valeur de 1.8 millions de dollars par année.

Des peanuts, en comparaison avec les autres entraîneurs-chefs de la LNH.

En comparaison, Joel Quenneville (5.25M$), Todd McLellan (5M$), Alain Vigneault (5M$), Claude Julien (5M$) et Peter Laviolette (4.9M$) gagnent presque tous le triple de son salaire annuel.

On vous rappelle que Brind'Amour vient de remporter le titre d'entraîneur-chef de l'année dans la LNH.

Même Gerard Gallant, sans emploi depuis presque deux ans, vient de signer à New York pour le double du salaire de Brind'Amour, soit 3.5 millions par année pour 4 ans.

Reconnu pour être un propriétaire près de ses sous, Dundon n'en est pas à ses premières frasques de la sorte et plusieurs y voient là un manque de respect envers son entraîneur qui avait déjà exprimé publiquement son désir de demeurer en Caroline.

Au final, après des semaines de négociations, Dundon n'aura même pas daigné lui offrir un salaire compétitif par rapport à la moyenne des entraîneurs-chefs de la LNH.

On se rappellera il y a quelques jours que l'on vous rapportait la nouvelle à l'effet que la direction des Hurricanes avait donné la permission à leur défenseur étoile Dougie Hamilton, de discuter avec d'autres formations, lui qui deviendra agent libre sans compensation et qui n'a pas reçu de la Caroline une offre qu'il jugeait raisonnable durant les négociations de contrat.

On comprend mieux maintenant pourquoi cette réputation continue de suivre Tom Dundon. [pub]


Source: Mark Scheig