Voyez les détails !
Depuis que Mathieu Darche a pris les rênes des Islanders de New York en remplacement de Lou Lamoriello, plusieurs éléments ont changé au sein de l’organisation.
Toutefois, un détail demeure inchangé… du moins pour l’instant : les fameux numéros de chandail. Sous Lamoriello, les joueurs étaient généralement limités à des numéros entre 2 et 30, à l’exception des gardiens qui pouvaient porter le 1 ou un numéro au-delà de 31.
Avec Darche, qu’on dit plus permissif et ouvert aux personnalités, il semble probable que ces règles strictes sur les numéros deviennent chose du passé.
L'équipe a déjà plusieurs numéros indisponibles, des numéros retirés : les légendes Denis Potvin (5), Clark Gillies (9), Bryan Trottier (19), Mike Bossy (22), John Tonelli (27), Billy Smith (31) et Butch Goring (91) ne seront jamais oubliées — ni leurs numéros réutilisés.
Quelques numéros auparavant indisponibles le sont désormais : le 2 (ex-Mike Reilly), le 8 (ex-Noah Dobson) pourraient donc revenir sur les chandails. Parmi les nouveaux joueurs à trouver leur place : Matthew Schaefer, Emil Heineman, Jonathan Drouin, Maxim Shabanov et David Rittich.
Schaefer portait le 71 au camp de développement, mais il souhaite le 48, en hommage à son frère et à Daniel Brière, son idole. Ce numéro est libre dans la LNH.
Heineman, acquis dans l’échange envoyant Dobson à Montréal, portait le 51 chez les Canadiens. Drouin, lui, ne pourra récupérer son traditionnel 27 (appartenant à Anders Lee), mais le 92, qu’il a déjà porté à Montréal, est disponible.
Shabanov pourrait aisément obtenir son 49 habituel, et Rittich, qui ne peut porter le 31 (retiré pour Billy Smith), pourrait opter pour le 33, libre depuis peu.
Certains vétérans pourraient aussi revoir leur numéro : Tony DeAngelo a porté le 77 ailleurs, et un changement libérerait ainsi le 4 pour Isaiah George, qui l’avait à London.
Rien n’est confirmé pour l’instant, et il faudra probablement attendre le camp d'entraînement en septembre pour découvrir quels numéros seront officiellement attribués. Une chose est certaine : sous Darche, les joueurs auront sans doute un peu plus de liberté… jusque sur leur dos.
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