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Matthew Tkachuk ne sera pas là pour le début de la saison. Ça, tout le monde le sait déjà depuis un petit bout de temps. Mais selon Frank Seravalli, il faudra peut-être attendre jusqu’à cinq mois avant de le revoir en uniforme. Ce qui nous mène… à janvier 2026.
Pas de panique chez les Panthers. Pas de controverse non plus. Ce n’est pas une manœuvre à la Kucherov. Ce n’est pas un tour de passe-passe comptable. C’est juste un gars qui joue comme s’il n’y avait pas de lendemain. Un gars qui encaisse, qui frappe, qui revient, qui recommence. Soir après soir. Et à force de tout donner, le corps finit par dire: «Ça suffit!»
Alors oui, la Floride économise sur la masse salariale pendant qu’il est sur la touche. Mais personne ne crie au scandale. Parce que Tkachuk, c’est le joueur qui se sacrifie pour que son club avance. Celui qui joue blessé, qui revient trop rapidement, qui refuse de ralentir. Et quand ça casse, ça casse pour vrai.
Seravalli parle d’un retour entre trois et cinq mois. Ce qui veut dire que Tkachuk pourrait revenir juste à temps pour les Fêtes. Un petit miracle de Noël pour les partisans des Panthers. Ou un cadeau de Thanksgiving, pour les plus optimistes qui marquent les dates sur leur calendrier.
Imaginez l’ambiance à Sunrise quand il sautera sur la glace pour la première fois depuis des mois. Imaginez l’impact sur le vestiaire. Sur l’adversaire. Sur la course aux séries.
Si jamais sa récupération se passe moins rapidement que prévue, pourquoi pas un retour pile à temps pour les Jeux olympiques de 2026? Le genre de come-back qui ferait rêver Team USA. Le genre de retour qui pourrait coûter une place à un joueur qui a tout donné pendant la saison pour espérer y être. Cole Caufield? Trop chauvin? OK, disons plutôt Tage Thompson, alors. Ça fâchera moins de monde… Enfin, en théorie.
En attendant, les Panthers devront faire sans leur moteur, mais ils savent qu’il reviendra. Et quand il reviendra, ce sera comme si la saison commençait pour de vrai. De toute façon, en Floride, la saison a tendance à se terminer en juin… avec la Coupe Stanley entre les mains!
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