Les plus grosses surprises dans la LNH au tiers de la saison
Voyez les détails !
Même si à chaque saison, plusieurs choses sont prévisibles comme la domination de Connor McDavid et Cale Makar par exemple, et bien certaines histoires nous prennent par surprise à chaque année.
Après avoir franchi le tiers de la saison dans la LNH, voici quelques surprises que peu de gens ont vu venir.
Des Canucks dominants
Les Canucks ont connu l'un des meilleurs départs de la LNH, ce qui était inattendu, et sont maintenant bien installés dans la course aux séries éliminatoires de la Conférence Ouest avec une fiche de 21-9-2. Le plus impressionnant est qu'ils sont au premier rang des buts marqués avec 120 en 32 matchs. Plusieurs joueurs connaissent une saison extraordinaire. Hughes, Miller, Pettersson, Boeser, Hronek pour ne nommer que ceux là.
Les Bruins encore au somment
Sincèrement comment font-ils ? Après avoir perdu Patrice Bergeron, David Krejci, Taylor Hall, Nick Foligno, et leurs acquisitions de fin de saison Dmitri Orlov et Tyler Bertuzzi, les Bruins trônent encore au somment avec une fiche de 19-5-5. Qui l'a vu venir ? Bergeron, bien sûr. "Je ne suis pas surpris", a-t-il déclaré lors d'un récent entretien téléphonique. "Je connais les gars. Je sais que ce sont des gens qui savent se montrer à la hauteur. Le reste d'entre nous est en train de découvrir rapidement la même chose."
L'avantage numérique des Penguins
À l'inverse des Bruins ici on se demande comment font-ils pour être si mauvais avec autant de talent. Bien que leur fiche de 13-13-3 soit inquétante, c'est surtout leur avantage numérique anémique qui surprend tout le monde. Après avoir ajouté Erik Karlsson à Crosby, Malkin, Guentzel et Letang, les Pens sont au 27e rang avec un pourcentage de réussite de 12,9%
Brock Boeser
On savait que l'ailier des Canucks était un habile marqueur même s'il n'a jamais atteint le plateau des 30 buts (souvent à cause de blessures). Cette saison tout semble fonctionner et avec 23 buts en 32 matchs, il se dirige vers une saison de 60 buts et même s'il ralenti, le plateau des 50 buts est à sa portée.
Le retour du bon vieux Jonathan Quick
Lorsque Jonathan Quick a signé un contrat d'un an avec les Rangers de New York le 1er juillet, on pensait qu'il allait remplacer Igor Shesterkin pendant 15 à 20 matchs et qu'il resterait ensuite sur le banc en attendant la retraite après une carrière dans la LNH ponctuée par trois victoires de la Coupe Stanley. Et bien il a déjà 11 départs cette saison et il est dominant avec une moyenne de 2,09 et un pourcentage d'efficacité de .926%