L'ancien responsable à l'équipement des Leafs raconte comment Darcy Tucker se crinquait avant les matchs

Dans le monde du hockey professionnel, les routines d’avant-match sont parfois aussi intenses que les parties elles-mêmes. Et certaines, disons-le franchement, flirtent avec la folie.

Lors d’une discussion entre anciens joueurs, un souvenir en particulier a refait surface : celui de Darcy Tucker, un joueur reconnu pour son intensité… et ses méthodes peu orthodoxes pour se mettre dans le bon état d’esprit avant la mise au jeu.

L’un des rituels les plus marquants? Le fameux « coca chino », un mélange explosif de Coca-Cola et de café noir. Oui, vous avez bien lu. Avant les matchs, Tucker s’enfilait cette concoction énergisante pour se « crinquer », à une époque où les boissons pour sportifs n’étaient pas encore monnaie courante dans les vestiaires.

Red Bull faisait à peine son apparition, et certains joueurs cherchaient encore la recette magique pour être au sommet de leur énergie. Le coca chino, apparemment, faisait le travail. « Vous devriez essayer, c’est vraiment efficace pour se réveiller », a lancé Scott McKay, ancien responsable de l'équipement des Leafs, invité au Steve Dangle Podcast.

Darcy Tucker, lui, avait l’habitude d’enrouler sa gomme, et puis… tu sais, il faisait ce qu’on appelait le coca chino, un mélange de Coke et de café. Vous devriez essayer, c’est vraiment efficace pour se crinquer.

Il était clair que son niveau d’excitation frôlait parfois la stratosphère. Un autre joueur a même blagué en se demandant si la lessive de Tucker n’avait pas régulièrement des « taches brunes » dans le dos, signe évident que la tension pré-match atteignait des sommets… corporels.

Et si vous doutez encore de l’effet de ce fameux coca chino, on vous suggère d’aller jeter un œil aux anciennes vidéos de Darcy Tucker sur la glace. Son regard souvent écarquillé, féroce, presque possédé, en disait long. Il ne faisait pas que jouer avec intensité… il incarnait la tempête.

Bref, dans une ère où les routines sont maintenant encadrées par la science du sport et les nutritionnistes, ces anecdotes rappellent une époque plus sauvage du hockey. Une époque où certains joueurs carburaient au pur chaos, avec un sourire nerveux… et une tasse de coca caféiné en main.