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Une importante mesure de sécurité entrera en vigueur dans la LNH à compter de la saison 2026-2027 : le port du protège-cou deviendra obligatoire pour tous les nouveaux joueurs faisant leur entrée dans la ligue. Cette décision, annoncée dans le cadre de la nouvelle convention collective, marque un tournant significatif en matière de protection des joueurs.
Concrètement, tout joueur qui disputera son premier match dans la LNH à partir de la saison 2026-27 devra porter un protège-cou homologué, sans exception. Cette initiative vise à mieux prévenir les blessures graves au cou, notamment celles causées par les lames de patins, un danger bien réel dans un sport aussi rapide et physique que le hockey.
Cependant, les joueurs qui auront disputé au moins une rencontre dans la LNH avant cette date bénéficieront d’une clause de droits acquis. Cela signifie qu’ils ne seront pas tenus de se conformer à cette nouvelle règle, à moins qu’ils ne le souhaitent de leur propre chef.
Dans la nouvelle convention collective : le port du protège-cou deviendra obligatoire pour tous les nouveaux joueurs entrant dans la LNH à partir de la saison 2026-2027.
Les joueurs ayant disputé au moins un match avant cette saison seront exemptés grâce à une clause de droits acquis (grandfather clause) et ne seront donc pas obligés d’en porter un.
Cette approche permet à la ligue d’implanter une nouvelle norme sans l’imposer immédiatement à tous les joueurs en activité, une méthode déjà utilisée par le passé pour des équipements comme le port du casque ou de la visière.
Cette décision fait suite à une série d’événements tragiques et d’inquiétudes croissantes autour de la sécurité des joueurs, notamment dans les circuits professionnels et amateurs. De nombreux experts, entraîneurs et anciens joueurs ont depuis longtemps milité pour que le protège-cou devienne une pièce d’équipement obligatoire.
En instaurant cette règle, la LNH fait un pas important vers une meilleure protection des athlètes, tout en préparant l’avenir du hockey professionnel avec des standards de sécurité rehaussés. Reste à voir si, à long terme, les vétérans choisiront eux aussi d’adopter volontairement le protège-cou, suivant ainsi l’exemple des prochaines générations.
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