Fou rire au Temple de la renommée alors que Gary Bettman se trompe de surnom pour Joe Thornton

La soirée d’intronisation au Temple de la renommée du hockey a offert son lot d’émotions… mais aussi un moment cocasse totalement inattendu, grâce à une petite gaffe de Gary Bettman.

Alors qu’il prenait la parole pour saluer les nouveaux immortalisés du hockey, le commissaire de la LNH a commis un lapsus qui a instantanément fait réagir toute la salle.

En voulant s’adresser à Joe Thornton, Bettman a tenté de lui rendre hommage en utilisant son célèbre surnom “Jumbo”, un nom que tout amateur de hockey connaît par cœur. Thornton porte ce sobriquet depuis des années, autant pour sa stature impressionnante que pour sa personnalité généreuse et débordante. Mais au moment de prononcer les mots, la langue du commissaire a fourché… et il a laissé échapper un très maladroit “Dumbo”.

L’erreur a provoqué une vague de rires dans l’auditoire, et même Joe Thornton n’a pas pu s’empêcher de sourire largement. Installé parmi les invités, il a réagi avec une bonne dose d’humour, visiblement amusé par la situation.

Bettman, un peu confus, s’est empressé de se corriger, en insistant sur le fait qu’il parlait bien de Jumbo Joe, le colosse adoré de tellement de partisans.

Ce moment de légèreté n’a toutefois pas éclipsé l’importance de l’hommage rendu à Thornton. L’ancien joueur, l’un des plus durables et constants de l’histoire de la LNH, a marqué toutes les équipes qu’il a croisées. Avec plus de 1 700 matchs joués et plus de 1 500 points récoltés, il s’est forgé une réputation de maître passeur, de leader respecté et de véritable pilier sur la glace. Sa longévité, sa vision du jeu et son attitude décontractée en ont fait l’une des figures les plus aimées du hockey moderne.

L’incident du “Dumbo” n’aura donc été qu’une parenthèse amusante dans une soirée empreinte de respect et de reconnaissance. Et au fond, si quelqu’un pouvait rire sans se vexer d’un tel lapsus, c’était bien Joe Thornton. Fidèle à lui-même, il a accueilli la gaffe avec le même humour qui a fait de lui une légende aussi appréciée dans le vestiaire qu’à l’extérieur de la patinoire.