Des gros changements à venir à Vancouver?

Par les temps qui courent, les Canucks de Vancouver ne cessent de décevoir alors qu'ils présentent une fiche de 6-13-2 après 21 matchs cette saison. Clairement, ce n'est vraiment pas à une telle fiche que l'équipe de la Colombie-Britannique espérait surtout après avoir consenti d'énormes contrats à l'attaquant Elias Pettersson et au défenseur Quinn Hughes.

Donc, il n'en fallait pas plus pour démarrer la machine à rumeurs au sujet de leur franc-tireur Brock Boeser. On le sait tous : lorsqu'un franc-tireur a une séquence négative, celle-ci peut perdurer pour plusieurs longues semaines. Clairement, Boeser semble frustré depuis quelque temps, lui qui ne compte que quatre buts et quatre mentions d'aide en 18 matchs. Pour un gars qui était habitué à marquer un but aux deux matchs au cours de sa carrière, ça peut effectivement être très frustrant.

Selon ce que le journaliste attitré à la couverture des Canucks, Rob Simpson, a rapporté, les discussions autour de Boeser se seraient intensifiées au cours des derniers jours.

D'ailleurs, Boeser en a parlé au cours de sa conférence de presse alors qu'il s'était dit « tanné d'entendre son nom circuler dans toutes sortes de rumeurs. »

Simpson a également ajouté que si Boeser advenait à être échangé, Pettersson serait probablement encore plus mécontent de la situation actuelle de son équipe.

Même si c'est Boeser qui semble être le bouc émissaire, les équipes seraient plutôt en train de s'informer au sujet du capitaine, Bo Horvat, et de l'attaquant, JT Miller. D'ailleurs, l'équipe la plus agressive dans le dossier de Miller serait le Wild du Minnesota comme le rapporte Ben Kuzma.

Le nom de Kevin Fiala aurait également été impliqué dans ces discussions. Bref, les Canucks consistent d'un dossier chaud, voire même brûlant. Il faut également mentionner qu'il semble que l'entraîneur-chef, Travis Green, ait perdu son vestiaire. Effectivement, lors d’un entraînement au cours de la semaine, il y a eu un peu de confusion lors d'un exercice et la frustration a pris le dessus de Miller. Selon les journalistes présents sur place, il aurait été entendu s'écrirer : « On ne sait même pas ce qu'on fait! » 

Il semblerait qu'on soit bien à l'aube de grands changements à Vancouver.