Si les Blues de St. Louis avaient écouté Vladimir Tarasenko, ils seraient encore plus forts aujourd'hui.

En entrevue, l'entraîneur-chef de l'équipe Ken Hitchcock a admis que dès son arrivée avec l'équipe en 2012 il n'y a pas un mois où Tarasenko ne leur parlait pas de son compatriote, espérant qu'ils le signent lui aussi.

Son nom? Un certain Artemi Panarin, candidat au titre de recrue de l'année dans la LNH.

Hitchcock admet que l'équipe n'a pas vraiment écouté leur joueur vedette et c'est pour cette raison qu'il a finalement abouti à Chicago avec les Blackhawks, sinon ils auraient certainement été les premiers à lui faire une offre avant même que les autres équipes de la LNH ne le découvre.

Maintenant il joue plutôt dans le clan ennemi.