Un autre côté de Marc Bergevin.

Marc Bergevin, lorsqu'il s'adresse aux journalistes, est infiniment secret. Toutefois, Bergevin nous dévoile son côté tendre lors d'un entrevue accordé à Pierre Durocher du Journal de Montréal. Alors qu'il élabore sur ses racines, Marc Bergevin s'est adresser ouvertement au journaliste.

Par exemple, Marc Bergevin dresse un portrait touchant de ses parents, lui qui arbore un tattoo du visage de sa mère dans son dos.

Bergevin est devenu émotif lorsqu’il fut question de sa mère, Pauline, décédée à l’âge de 57 ans de complications liées à un caillot de sang.

«J’étais très proche d’elle. C’était une maman en or. J’ai reçu tellement d’amour de sa part.[...]Mon sens de l’humour, je le tiens de ma mère. C’était une femme joviale. Nous n’étions pas riches, mais il y avait toujours quelque chose de bon à manger sur la table»

Bergevin admets que son père était un homme autoritaire, lui ayant enseigné rapidement la ponctualité et le respect.

«Lorsqu’il me disait de rentrer à la maison pas plus tard que neuf heures le soir, je m’arrangeais pour arriver cinq minutes à l’avance...»

Son père est décédé à l'age de 62 ans, d'une crise cardiaque.

«C’est moi qui l’ai trouvé mort dans sa demeure. Je peux vous dire que ça “fesse fort dans le dash”, pour reprendre une expression connue. Mes parents sont décédés beaucoup trop jeunes. Ça m’a marqué.»

L'article de Pierre Durocher nous révèle d'autre secrets du DG du Canadien comme par exemple, comment il reste un papa présent malgré la distance entre lui et ses enfants (ils sont restés à Chicago).

Un article incontournable sur l'homme derrière nos Glorieux, l'homme au mille vestons.